Slow food : le début du mouvement, contre les fast food
Slow movement : la généralisation à de nombreux domaines
Slow life : l’idée globale, une attitude d’esprit, un changement des pratiques de vie, lâcher prise, éveiller les sens, s’offrir des rituels, trouver un art de vivre
Slow cities : les rythmes apaisés, la réduction de la circulation, des bruits, plus d’espaces verts, de zones piétonnes, de voies pour vélos, promotion des traditions locales, de l’hospitalité, des productions locales… Un label : En Aquitaine Segonzac en Charente, Labastide-d’Armagnac dans les Landes
Slow tourisme, slow travel : En transport, le train, le bateau, le vélo, la marche. L’esprit, le regard : le temps retrouvé, la bienveillance, l’attention à là où l’on est, aux gens, à la beauté, à la nature, au patrimoine, à l’accueil, la découverte et la connaissance, la rencontre…
Slow money : réorienter les capitaux, destiner des flux financiers à l’amélioration de l’alimentation, ralentir et penser les flux financiers
Slow éducation, slow schools, parentalité douce : laisser les mômes bailler, jouer, avoir des mauvaises notes… Le rythme personnel, l’autonomie, priment sur les trophées
Et nous trouvons encore : les slow books, le slow sexe faire l’amour en conscience, ressentir pleinement, les slow TV ils ont suivi par millions la transhumance d’un troupeau de rennes, filmée en continu durant 11 jours, la slow cosmétique, le slow jardinage, c’est à dire le jardinage lui-même, apaisant contact avec la terre, avec le rythme des plantes, le slow working, le slow business et le slow management, trouver son rythme et ses poses, éviter les taches simultanées, éviter tout stress, manager de manière libre et souple